Série Spartacus — Saison 1

Les guerriers thraces s’allient à Rome pour combattre les Gètes, mais la trahison romaine met en péril leurs villages. Refusant cette injustice, un groupe se rebelle, est capturé et condamné à devenir esclave à Capoue, marquant le début d’un destin marqué par la lutte et la survie dans l’arène.

Spartacus intègre l’école de gladiateurs de Batiatus, coûte que coûte. Refusant de se plier, il fait face à la haine du légat Glaber et de Crixus, qui veulent sa perte. Pour survivre et être reconnu, le Thrace doit affronter toutes les épreuves du combat et du pouvoir dans l’arène.

À l’approche des fêtes de Vulcanalia, un combat majeur est annoncé entre Crixus et Gnéaus. Spartacus, déterminé, cherche à gagner sa place dans l’arène pour affronter le puissant gaulois. Entre rivalités et ambitions, cette confrontation promet de bouleverser l’équilibre au sein de l’école de gladiateurs de Batiatus.

Après sa défaite contre Crixus, Spartacus est envoyé dans la fosse des bas-fonds, une arène sanglante sans règles où seule la mort compte. Batiatus mise sur cette brutalité pour régler ses dettes, tandis que Spartacus doit lutter pour sa survie face à des combats plus sauvages que jamais.

Pris au piège, Batiatus contraint Crixus et Spartacus à affronter une légende invaincue de l’arène. Forcés de combattre côte à côte, les deux gladiateurs doivent mettre de côté leurs rivalités pour survivre à ce défi mortel et imposer leur force dans un combat où l’union est leur seule chance de victoire.

Après sa victoire sur Theokoles, Spartacus est acclamé à Capoue. Pourtant, l’annonce du retour imminent de sa femme ravive son désir d’évasion. Pendant ce temps, Batiatus apprend qu’un survivant a échappé au massacre qu’il a organisé, menaçant ainsi ses plans et amplifiant les tensions au sein de l’école de gladiateurs.

Le départ soudain de Barca intrigue Doctore, surtout après l’abandon de Pietros au camp d’entraînement. Spartacus, quant à lui, fait le deuil de sa femme Sura. Malgré sa douleur, Batiatus le pousse à se relever et à avancer, préparant la suite des combats et des intrigues au cœur de l’arène.

Champion incontesté, Spartacus rapporte une grande fortune à Batiatus, qui investit dans l’achat de nouveaux esclaves à former en gladiateurs. Pendant ce temps, Crixus, encore affaibli, progresse lentement dans sa récupération, poussant son maître à envisager de le vendre, alors que les tensions montent entre rivalité et fraternité au sein de l’école.

Lucretia sollicite Spartacus pour des arrangements politiques délicats. Crixus reprend l’entraînement aux côtés d’Asher, mais Batiatus refuse de le renvoyer dans l’arène, le jugeant trop vieux et plus utile dans la gestion des finances du Ludus. Les rivalités et manipulations continuent de nourrir les tensions au sein de l’école.

À l’occasion de l’anniversaire du fils du magistrat, Batiatus orchestre un combat amical entre Spartacus et Crixus. Ce dernier voit là une chance de revanche. Mais derrière cette joute se trament des intrigues politiques dangereuses, qui mènent l’affrontement à des conséquences tragiques et bouleversent le destin des gladiateurs.

Spartacus peine à surmonter la perte de son ami Varro, tandis que Batiatus fomente une vengeance contre le magistrat après une cuisante humiliation. Profitant de la blessure de Spartacus, Crixus saisit l’occasion pour tenter de reconquérir son titre de primus dans une arène où loyautés et rivalités s’entremêlent.

Batiatus célèbre sa victoire sur Solonius et attend le soutien de Claudius Glaber. Spartacus prépare sa vengeance, freiné par l’arrivée d’Aurelia, nouvelle esclave de Batiatus. De son côté, Crixus est tourmenté de voir sa compagne aux mains d’Asher, intensifiant les tensions au sein de l’école de gladiateurs.

Batiatus organise une fête grandiose pour célébrer le soutien de Glaber et affirmer son pouvoir à Capoue. Spartacus profite de l’occasion pour préparer sa vengeance et planifier son évasion. Pour réussir, il doit d’abord convaincre Crixus, son ennemi juré, de s’allier à lui afin de prendre leur revanche commune.